Pour parler autrement du livre « Lettres à ma génération », l’auteur Sarah Roubato vous invite à intervenir tout au long de la lecture ponctuée de moments musicaux pour déplier les thèmes de société abordés dans ses lettres

Sortir les soirées littéraires du monologue de l’auteur en ouvrant un espace de participation, c’est ce que Sarah propose, en invitant chacun à déplier ce que les lettres provoquent de souvenirs, de réflexions, de questionnements. Un espace de parole et d’échange s’ouvre alors, où ce n’est pas l’auteur qui est au centre, mais bien le nous que nous voudrons créer ce soir-là. Elle propose ces soirées dans les universités, bibliothèques, médiathèques, cafés, théâtres, fournils, fermes, et chez l’habitant.

Pisteuse de paroles et écouteuse à temps plein, Sarah Roubato pose ses oreilles partout où se déplie une histoire qu’on n’a pas l’habitude d’entendre. Elle en fait des spectacles, des portraits sonores ou bien des livres. Sarah déplie les petits gestes du quotidien pour interroger les grands phénomènes de société. Elle réalise une série de portraits sonores, « L’Extraordinaire au quotidien », redécouvrant une France qu’on ne soupçonne pas. Sa « Lettre à ma génération », écrite à la suite des attentats du 13 novembre 2015 à Paris et devenu le texte le plus lu de l’histoire de Mediapart, a trouvé un écho retentissant partout dans le monde (https://blogs.mediapart.fr/sarah-roubato/blog/201115/lettre-ma-generation-moi-je-nirai-pas-quen-terrasse)

Lettres à ma génération est un recueil de lettres adressées à toutes celles et ceux, même s’ils ne peuvent pas répondre, qui peuplent la solitude d’une jeune femme éprise de la beauté du monde. Comment la dire, comment la préserver, comment y participer, alors que des forces contraires – l’hyperconsommation, les renoncements politiques, l’ambivalence du progrès technologique – nous isolent toujours plus les uns des autres ?

Qu’elle s’adresse à sa génération, à ses aînés, à ses admirations, à son indifférence, à internet, à un éléphant, à Blanche-Neige ou à son piano, Sarah s’adresse d’abord à chacun de nous, d’une manière à la fois intime et critique, bouleversante de simplicité, en amie tendre et exigeante, pour nous rappeler ce que nous pourrions être, ensemble, au moins le temps d’une lettre…

Inscription possible (mais pas obligée !) AU COIN D’LA RUE ou par courriel à epm@vivrelarue.net – Participation 5€ –

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